mercredi 30 avril 2008

Sondage n°2

Et voici les résultats des votes.

Si vous aviez été le public d'une émission, suivre votre avis aurait été de bon conseil !

Mendicité

Ce matin à la radio, entre le jeu concours et l'horoscope du jour, les infos. Parmi les sujets, la décision du Grand conseil vaudois de rejeter un "postulat" de l'UDC demandant de légiférer contre la mendicité. Et l'un des Conseillers d'Etat de préciser que cette question est de la compétence des communes, en concertation avec le canton. Vu le positionnement politique de l'UDC, je suis assez content de cette décision, par principe. D'autant plus que depuis mon arrivée, je n'ai pas vu de mendiant dans les rues.

?!;( Mais keskiraconte? Petite explication de texte et de contexte...

Grand Conseil, Conseil d'Etat: il s'agit du législatif et de l'exécutif cantonaux. Comme je vous l'expliquai dans un de mes premiers billets, la Suisse est organisée autours de trois échelons, la fédération, le canton et la commune. Chaque échelon possède son propre pouvoir législatif (autorité suprême cantonale, élue par le peuple) et un exécutif. Tout ça est pas mal expliqué dans le petit dépliant que voici --qui, soit dit en passant, montre que la Suisse le canton de Vaud(*) est un peu plus avancée que la France s'agissant des droits politiques des étrangers. Sauf erreur, tout étranger citoyen de l'UE peut voter aux élections locales en France. Mais en Suisse, étranger ça veut dire non-Suisse: citoyen de l'UE, de l'ALENA, du Mercosur, de la CEI, de l'ASEAN ou de l'Union africaine!

(*)Depuis la publication de ce message, je me suis rendu compte que l'attribution de droits politiques aux étrangers relève de la compétence du canton et non de la Fédération... Donc je n'ai aucune idée de ce qui se passe en dehors du canton de Vaud

Postulat: j'ai l'impression que cela permet au législatif (au niveau cantonal: le Grand Conseil) de demander à l'exécutif (le Conseil d'Etat) qu'il étudie l'opportunité de prendre une mesure sur une question donnée.

L'UDC, Union Démocratique du Centre, n'a de centriste que le nom, comme le montrent les affiches de ses dernières campagnes. Une intéressante analyse graphique ici. Pour sa campagne la plus récente, une affiche encore plus explicite, photographiée dans la rue. Pour la petite histoire (merci pour "L'Histoire de la Suisse pour les Nuls") l'UDC trouve son origine dans le parti des agrariens et vous l'aurez compris, il plutôt orienté très à droite...


Pour le contexte, quelques informations récentes: un arrêté anti-mendicité à Assise (ça c'est en Italie, pas en Suisse), une loi cantonale à Genève contre la mendicité...

mardi 29 avril 2008

Chacun sa madeleine

Chez Proust, il s'agissait d'une pâtisserie trempée dans du thé et de souvenirs d'enfance du narrateur Du côté de chez Swann. Permettez-moi de vous présenter l'une de mes madeleines, en l'occurrence une modeste représentante de la famille des Scrophulariacées. Mes camarades de prépa la reconnaîtront peut-être, j'ai nommé: la linaire cymbalaire également appelée ruine-de-Rome. Cette petite plante violette pousse sur les murs pierreux de Vevey et des terrasses de Lavaux. Par endroits, elle forme de véritables mottes touffues, vertes et violettes du plus bel effet!

Pourquoi une madeleine? Cette plante est la première que notre prof de biologie, par ailleurs illustre auteur Du fer dans les épinards, avait soumise à notre sagacité lors d'un TP de botanique. Objet de l'exercice: déterminer la famille, le genre, l'espèce et le nom vernaculaire de la chose verte et violette, par l'observation et à l'aide de la fameuse flore Bonnier. Fameuse pour ses petits schémas sur lesquels ils nous arrivait de devoir différencier des petits poils fourchus et des moyens poils branchus. Une gageure. Rencontrer la linaire dans les rues de Vevey m'a rappelé cette première séance et quelques bons souvenirs de prépa...

J'en ai profité pour glisser une photo de capillaire des murailles, une petite fougère qui pousse aussi dans les murs.





Chose promise, chose due

Après celui de la machine à affranchir, vous attendez probablement le mode d'emploi du parcomètre collectif. Tout d'abord, félicitations à la grande majorité de ceux qui ont joué le jeu et répondu à mon sondage. Parcomètre collectif, ça veut dire horodateur. Après trois mois en Suisse, la question du stationnement me semble encore assez compliquée. Le plus souvent, on tombe sur l'un ou l'autre de ces deux types de panneaux.




Celui de gauche indique qu'il faut payer au parcomètre et que la durée de stationnement est limitée à une heure; celui de droite que le stationnement est gratuit, pour une durée limitée et il faut utiliser son disque de stationnement, petit accessoire que je me suis procuré dès que Titine est arrivée en Suisse.

Et voici une photo d'un parcomètre collectif. Au moment de payer, il faut faire attention à son numéro de place pour éviter l'amende. Et contrairement aux machines à affranchir, les parcomètres collectifs ne délivrent pas de ticket mais ils rendent les pièces...

Si je tombe sur d'autres machines locales, je me ferai évidemment un devoir de vous en fournir le mode d'emploi, des fois que vous en ayez l'usage ;o)

mercredi 23 avril 2008

Carte postale de Suisse

Rien de plus simple que d'envoyer une lettre pensez-vous. C'est la théorie... Mais la première fois que je me suis trouvé face à ça, je me suis senti un peu perplexe.


Heureusement, les explications trilingues m'ont permis de résoudre l'équation. Provisoirement.


Avant toutes choses, il faut déterminer le montant de la vignette. Il dépend du poids, de la destination, de la rapidité. Et comme il n'y a pas de pèse-lettre près de la machine à affranchir, seule une bonne vieille méthode fonctionne, le pifomètre. Ensuite, deuxième condition, avoir le compte exact en pièces locales. La jolie machine jaune ne propose qu'une seule option: l'impression de vignettes. Une fois une pièce avalée, elle ne la rendra pas. Corollaire, elle ne rend pas non plus la monnaie. Puis, toutes ces opérations effectuées, il ne reste plus qu'à saisir le montant d'affranchissement voulu, en centimes seulement.

Trêve d'ironie. Un matin, le postier a sonné à ma porte pour me remettre un colis. Tôt, genre vers 8h15. Vous lisez bien, il est vraiment venu! Il ne s'est pas contenté de glisser un avis de passage dans ma boîte aux lettres en excipant de l'inaccessibilité de mon appartement pour expliquer le fait qu'il ne se soit pas présenté devant chez moi. Première surprise. Heureusement, j'étais déjà réveillé, douché, alimenté, cravaté, en un mot, sur le départ pour le boulot. L'objet de cette visite matinale: un colis à distribuer contre remboursement, une histoire de frais douaniers. Je n'avais pas la monnaie en francs suisses. En voyant des pièces d'euros dans mon porte-monnaie, le facteur m'a proposé de me changer quelques euros. Deuxième surprise. Bon, vu le taux de change, j'ai préféré revenir à la Poste plus tard pour récupérer mon colis. Mais je ne pouvais pas passer dans le délai d'une semaine habituellement imparti. Un coup de fil au bureau de poste pour expliquer ma situation, si délicate... Et la postière m'a proposé de garder le colis un peu plus longtemps. Troisième et dernière bonne surprise.

Une autre spécificité que j'ai remarquée. Nul besoin de se rendre au bureau de poste de la capitale cantonale pour envoyer du courrier le dimanche et s'assurer qu'il soit bien relevé le jour-même (en France, ceux qui persistent à envoyer leur déclaration de revenu par courrier au dernier moment connaissent bien l'angoisse du dimanche avant minuit). Même à Vevey, il y a une tournée de relève du courrier le dimanche matin. Bon, me direz-vous, cela ne résout pas l'angoisse du courrier envoyé après 9h00 du matin, mais ça zénifie un peu malgré tout.

Au prochain épisode: "Comment s'acquitter de la taxe de parcage" ou "De l'utilisation d'un parcomètre collectif en une leçon". Petite précision, parcage: parking, parcomètre: voyez les réponses proposées dans le sondage!

mardi 22 avril 2008

Des racines et des ailes

Mercredi 23 avril, l'émission "Des racines et des ailes" (France 3) sera consacrée au lac Léman et au vignoble de Lavaux, qui s'étend de Lausanne à Montreux. Il a été classé récemment au patrimoine mondial de l'UNESCO. Particularité de ces vignobles: ils sont cultivés en terrasses. Parmi les crus renommés de la région, les vins blancs de Cully, Saint Saphorin et Epesses. Si vous souhaitez avoir un aperçu de la région où je vis maintenant, ne loupez pas l'émission!

Et voilà une photo des vignes sous la neige, en janvier dernier.


Depuis quelques semaines, les vignes se couvrent de verdure et le paysage s'embellit.

samedi 19 avril 2008

Les dents du Midi

Petite ballade sur le bord du Léman. Une des premières belles journées du printemps: ensoleillement idéal, air pur et vue dégagée. Tout au fond, les Dents du Midi, avec ou sans le port de La Tour-de-Peilz. Récemment j'ai visité un appart' avec une vue directe sur les Dents du Midi. Belle vue mais un peu isolé dans la campagne...






Et pour mieux situer les Dents du Midi, voici une carte:


Agrandir le plan

Swiss attitude

Comment se fondre dans la masse? Impossible avec mon absence d'accent (enfin, cette absence est déjà un accent pour mes collègues suisses) Par contre, je peux tenter de tromper le chaland en adoptant des expressions locales. En vrac et dans le désordre:
"avoir de la peine" : avoir du mal (bon, on l'utilise aussi côté français, mais c'est plutôt les grands-parents qui le font)
"un cornet" : un sac en papier (je crois, mais c'est peut-être aussi un sac plastique)
"sans autre" : sans raison contraire... Hors contexte, difficile de donner un équivalent.
"parquer" : garer
"partage de frais" : découpe récente
"action" : promotion
"natel" : téléphone mobile
"tout de bon" : bonne journée, tout va bien...
"case postale" : boîte postale
"être déçu en bien" : être favorablement surpris
"le chenil" : le bazar, mais celui-là je vous l'avais déjà sorti...

Je collectionne ces expressions, un peu comme des pépites. Et quand je demande à mes interlocuteurs de répéter une expression que je n'ai pas comprise, je suis toujours amusé de voir leurs yeux s'arrondir de surprise.

Nouvelle fonctionnalité

Et voilà, après quelques heures de recherches, j'ai enfin compris comment installer une bidouille (libre traduction de "widget") pour vous permettre de vous abonner. Normalement, je me débrouille en anglais. Mais là, il fallait que je comprenne de l'anglais d'informaticien. Ce n'est pas une mince affaire. Enfin, ça y est, j'ai atteint mon objectif. Vous pourrez trouver un petit formulaire, sur la droite des pages de mon blog. Si tout se passe bien, après avoir saisi votre adresse mail et appuyé sur le bouton, vous pourrez recevoir mes billets directement! Vive le progrès!

lundi 14 avril 2008

Ko, artiste-peintre: L'Abandon

Il y a quelques semaines, je suis tombé en arrêt devant la vitrine d'une galerie lyonnaise (Carré d'artistes), fasciné par un tableau de Ko. J'ai tout de suite eu l'envie d'en savoir plus, de voir son travail. Cette galerie est vraiment faite pour musarder d'un artiste à l'autre, se laisser guider par ses impressions et ses coups de cœur. Et immanquablement je revenais vers la zone consacrée à Ko. Un signe peut-être? Finalement --et ça tombait bien puisque mon anniversaire venait de passer-- je me suis fait un grand plaisir en m'offrant l'œuvre dont voici une photo:


Ce tableau est intitulé L'abandon. Qu'en pensez-vous?

samedi 12 avril 2008

181 ALM 69 est morte. Vive VD 561014 !

Je vous annonçais dans un précédent post que Titine allait passer sur le billard --façon de parler-- avant de pouvoir prétendre à la nationalité suisse. Et surtout, c'était la condition sine qua non pour rendre définitive mon assurance auto . Eh bien c'est chose faite. Maintenant, je peux circuler incognito en plaques vaudoises VD 561014.



Comme cela m'était demandé, je me suis procuré un carnet antipollution auprès du concessionnaire Citroën local. En plus de mesurer mon empreinte carbone et de me fournir ledit carnet, il a collé un petit aide-mémoire sur la voiture, qui nous aidera, la maréchaussée et moi, à ne pas oublier le prochain contrôle antipollution. J'en ai profité pour lui demander de faire le "service" de Titine, c'est à dire la révision annuelle. En passant, il a ôté mes plaques françaises (181 ALM 69) et installé les supports de plaques minéralogiques suisses.

Mention spéciale pour la Fille qui va aussi visiter le Service des automobiles et de la navigation vaudois, dit le SAN: mieux vaut faire enlever les plaques de la voiture avant le rendez-vous. Pour circuler, il suffit de mettre les plaques sur les plages avant et arrière.

Titine a été soumise à une batterie de tests: fonctionnement de la direction, des suspensions, des différents phares, feux de signalisation, freins en conditions normales et sur route mouillée, état des pneus, bruit et pollution (encore), pesage. J'ai même appris qu'elle était équipée de l'ABS ! Tout cela en 30 minutes. Ensuite, remise des plaques suisses, passage chez le garagiste pour qu'il les installe et retour au boulot à 9h30. Oui, vous avez bien lu, 9h30. Mon rendez-vous de contrôle avait lieu à 8h10. Vraiment trop tôt.

Et ce matin, j'ai reçu la copie d'un courrier adressé par le SAN au Consul de France: Titine a été importée en Suisse, les plaques françaises détruites, la carte grise envoyée au Consul et la nouvelle immatriculation communiquée à son Excellence... Incroyable efficacité !

J'ai hâte de faire un tour en France, juste pour voir la réaction des autochtones. La raison? Je garde un souvenir interloqué d'une anecdote qui nous est arrivée, à ma mère, ma sœur et moi, à Thionville. 1990 ou 1991, nous habitions alors au Luxembourg et la voiture familiale y était immatriculée. En attendant tranquillement que le feu passe au vert, j'ai entendu un "Rentrez chez vous sales bougn...les" qui nous était adressé par un "local" ; je suppose qu'il trouvait que ma mère n'avait pas démarré assez vite. A l'époque je ne savais pas ce que ça voulait dire. Maintenant si. Et j'en suis encore dégouté. La question est la suivante: les mentalités ont-elle évolué depuis ? Quand on suit un peu l'actualité française, je crains que non...

Passons.

Dans un de ses posts, La Fille nous parle des mérites comparés de la Migros et de la Coop. Aujourd'hui, j'ai découvert "Manor", je ne sais pas si on dit le ou la. Jusqu'à présent je fréquentais indifféremment la Migros (juste derrière chez moi) et la Coop (un peu plus loin, mais plus de choix). Désormais je pense visiter Manor plus souvent: large choix de produits et proximité jouent en faveur de cette enseigne. Bon, je n'ai toujours pas trouvé de muffins à l'anglaise, mais je persévère dans ma recherche.

Autre spécificité suisse, le nom des repas. Successivement, déjeuner, dîner et souper. Entre les deux derniers peut se glisser le goûter, pour les petits. Les invitations à souper ne posent pas de problème ; par contre, proposer un déjeuner ou un dîner peut provoquer de nombreux quiproquo entre Français et Suisses. Seule solution pour éviter de tomber sur une porte close, ou de poser un lapin, préciser l'heure des réjouissances !

dimanche 6 avril 2008

Ambiance malienne

Cela fait déjà quelques années que j'ai découvert une fabuleuse chanteuse originaire du Mali, Rokia Traoré. Si jamais elle passe un jour près de chez vous, surtout n'hésitez pas. Sa voix, sa musique, ses concerts sont magiques... Une invitation au voyage.

Et pour faire bonne mesure, voici une vidéo d'un de ses titres.



samedi 5 avril 2008

Cactus

Résultats des votes: deux voix pour "Jacques", autant pour "EasterRabbit" et une pour "Carroll". D'autres propositions parmi les commentaires du message de lancement du sondage. Pas de résultat probant donc... Quand même quelques explications sur mes propositions:

- Jacques pour un cactus, c'était en hommage à Dutronc et sa chanson,
- EasterRabbit, eh bien au moment de lancer ce sondage, nous étions juste avant Pâques qui en Suisse, et dans certaines régions françaises --merci La Fille-- s'accompagne d'une distribution de lapins en chocolat,
- Carroll, comme Lewis, l'auteur de "Alice au pays des merveilles" et créateur du fabuleux lapin blanc. Toujours une histoire de lapin donc...

Vu les résultats, je vais exercer mon droit de retrait. Et le surnom du cactus sera désormais Le Chat. N'y voyez pas une référence à un génial personnage de BD, merci Geluck. En fait, Alfie avait un chat particulièrement irascible et sauvage. Souvent toutes griffes dehors. Et le nom de la bête était... Cactus.


vendredi 4 avril 2008

Une semaine à sec...

Plus d'une semaine sans nouvelle sur ma vie helvète. Je me rends compte que si j'espère conserver mon audience... planétaire (!) j'ai tout intérêt à faire vivre ce blog de voyage.


Quelques surprises récentes: un soir, coup de fil familial alors que je tentais de me tenir informé de l'actualité romande. Non que cette interruption me déplaise, au contraire, mais comme je suis un mec et que je ne peux faire deux choses à la fois (dixit Alfie et Môman) j'ai coupé le sifflet de la journaliste --tiens je réalise que je ne connais pas son nom, contrairement à ses confrères français. Et là, surprise incroyable en continuant à suivre l'image devenue muette. Normalement, dans ce genre de situation, j'arrivai peu ou prou à reconstituer la teneur du propos, ça s'appelle la lecture sur les lèvres. Non je n'affirme pas ici savoir lire sur les lèvres, mais simplement reconnaître certaines syllabes par ci par là, qui, mises bout à bout, m'aident à comprendre ce que raconte l'image. Eh bien, là... Rien... Nada... Enfin presque. C'est à ce moment précis que j'ai réalisé que l'accent n'était pas constitué que de sons, mais aussi de mouvements de lèvres, n'y voyez aucune allusion salace. Et pour vérifier s'il s'agissait d'un phénomène plus global, j'ai réitéré l'expérience. Avec l'émission "Infrarouge", le journal ou d'autres... Eh bien j'ai constaté que le plus souvent, certaines syllabes s'accompagnent d'un mouvement labial spécifiquement suisse, mouvement qui peut tromper le franchouillard non averti.

S'agissant de l'audience de ce blog, je remercie La Fille pour ses commentaires avisés pour Titine et l'invitation aux mercredis frouzes. A un prochain mercredi donc ! Pour Titine, un nettoyage intégral du châssis est prévu dans les prochains jours. Vous comprenez, il ne faudrait pas que les mécanos du service des automobiles se salissent les mains en effectuant le contrôle technique. Je ne comprends pas trop, mais si le nettoyage est obligatoire, allons-y, ça fait vivre le commerce.

Récemment, petit aller-retour à Paris pour voir Alfie ma soeurette (ça y est, vous savez tout) et mon neveu. Pour voyager de Vevey à Paris, le plus simple est de passer par Lausanne, le TGV est direct. A bon entendeur... Très curieusement, il n'y a eu aucun contrôle de la douane, ni à Lausanne ni à Paris, alors que le trajet Vevey Lyon implique une correspondance à Genève, avec passage par la douane. Passons. Chouettes paysages du Jura vaudois.

A bientôt !