En théorie, je devais visiter les pistes d'Argentière aujourd'hui, mais faute au mauvais temps, la sortie a été annulée... Zut et rezut. En même temps, ça fait près d'un mois que mes samedis sont occupés, ce qui veut dire que le frigo est vide: je ne suis toujours pas habitué aux horaires des commerces en Suisse et les courses le soir, impossible, c'est fermé. Pour la soirée, direction Cully.
Cully, c'est une petite commune près de Lausanne. On y trouve des vignes, du vin et un festival de jazz. Entre la fin mars et début avril. Alors devinez comment je me suis consolé de ne pas avoir skié.
J'ai retrouvé un groupe d'amis pour assister au concert des Old Chaps, un groupe de jazz New Orleans. Six musiciens déjantés, ambiance garantie. Une bien agréable soirée, entre musique et vin.
Samedi 21 mars, direction Ovronnaz pour une nouvelles journée de ski. Comme d'habitude, j'avais pris un cours, cette fois-ci niveau 4, histoire d'augmenter un peu la difficulté. Rendez-vous à la Tour de Peilz, direction le Valais.
Au programme, ski et bains. Ovronnaz est aussi une station thermale. Son eau, paraît-il, permet de traiter toutes sortes d'affections dont je ne souffre pas. On verra bien si elle a un effet quelconque sur moi.
Quelques photos de la journée.
Là c'est moi, sur un teleski. En anglais, ils appellent ça "plates", à ne pas confondre avec "T-lift" ou "arbalète" en romand, bizarre bizarre. Pardon, je m'égare.
Les bourrasques de vent soulèvent la neige sur les crêtes.
Des plissements de terrain. Un petit rappel qu'il y a quelques millions d'années, ici c'était sous la mer...
Au premier plan, Ovronnaz, en bas dans la vallée on devine la piste de l'aéroport de Sion et à l'arrière-plan (au sud), le reste des Alpes valaisannes.
A l'arrière plan, le Mont Blanc je crois.
Apprentissage de la journée: le virage serré sur une piste noire, étroite, très pentue et glacée et le virage sauté dans la poudreuse (au début on n'ose pas trop, puis une fois lancé, c'est bien drôle).
Je n'avais jamais été si fatigué à la fin d'une journée de ski, et si j'avais encore eu le choix, j'aurai probablement abandonné l'idée des bains pour rentrer directement. Mais finalement, les bains chauds en plein air et entourés de neige, avec vue sur le coucher de soleil derrière la montagne, c'était le pied! Effet apaisant garanti.
En fait, je vous raconterai ma journée à Ovronnaz demain. Là, je suis trop fatigué pour écrire un billet complet. Au programme: des photos, des vidéos, une histoire haletante...
Samedi, c'est ski... Pour la seconde fois, nous avons pris la direction de Grimentz. Départ de la Tour de Peilz à 7h30, arrivée vers 9h30, sur les pistes à 10h00. La dernière sortie c'était il y a un mois.
La dernière fois, le ciel était un peu couvert. Aujourd'hui au contraire, nous avons eu grand beau.
Un aperçu du domaine skiable
Panorama
Et pour ne pas vous laisser en reste, une spéciale dédicace. Enjoy...
A la fin de la vidéo, le monsieur en rouge, c'est notre instructeur.
Prochaines sorties: - le 21 à Ovronnaz, avec bains thermaux en fin de journée - le 28 à Argentières, en France - le 4 avril à Saas-Fee, avec un souper de fin de saison
Le Gars et la Fille seront en vacances la semaine prochaine, histoire de profiter de leurs derniers moments de tranquillité. La Fille m'a fait l'insigne honneur de me confier l'organisation de notre rendez-vous bimensuel, le désormais fameux Mercredi Frouzes. En l'occurrence celui du 18 mars, vous aurez deviné. La proposition n'est pas loin de m'avoir tétanisé. Quoi? Moi? Assurer l'interim?
La Fille m'a laissé carte blanche sur l'organisation. Rassurez-vous, je ne vais pas bouleverser vos habitudes. Par contre, comme je ne raffole pas de fesses-de-bouc, je vais utiliser le cousin Dédé de Gogol et vous envoyer un message avec rappel des lieux, heures et compagnie, en fin de semaine, comme la Fille en avait l'habitude.
D'ici là, si vous n'avez jamais encore contacté la Fille pour ce p'tit souper, envoyez-moi un message ici, comme ça je pourrai vous inscrire parmi les intéressés. Et vous remarquerez que j'ai upgradé mon blog avec une nouvelle rubrique, là à droite, intitulée... "Mercredis Frouzes!" C'est fou non?
Voilà. Plus de nouvelles dans quelques jours donc.
Shupi m'a envoyé un petit message avec une longue série de questions auxquelles il convient de répondre.
Si tu pouvais partir n'importe où en avion, là maintenant tout de suite, où irais-tu? (3 choix possibles) L'Irlande, le Portugal, le Canada
Hamma ou sauna? Les deux, l'un après l'autre, dans le désordre, avec roulade dans la neige ou immersion dans un puits d'eau froide...
Aliments détestés? Les bulots, si tant est que l'on puisse ressentir un tel sentiment vis-à-vis d'un aliment, quel qu'il soit.
La dernière personne que tu as eu au téléphone? La secrétaire de mon avocat
Ta couleur préférée? Rousse ou ambrée, c'est selon
Dors-tu avec une peluche? Euh, non je ne crois pas.
Tes blogs que tu lis chaque jour? Ceux qui sont sous la rubrique "Lisez-les"
Peux-tu toucher ton nez avec ta langue? Je viens d'essayer, toujours pas
Qu'as-tu envie de changer dans ton appartement? La rue qui passe en dessous. Ah non, c'est pas dans mon appart. Alors la table à manger.
Quel est ton 2ème prénom? Jean
Et ton surnom? J'ai été affublé de plusieurs surnoms qu'il est inutile d'énumérer sur la Toile.
Ta série TV favorite? J'ai pas la TV.
Le dernier film que tu as vu au cinéma? Gran Torino de et avec Clint Eastwood
Ta brasserie préférée à Paris? Le Polichinelle, rue de Charonne. Et pourquoi ne parler que de Paris?
Sais-tu changer un pneu de vélo? Ca se change?
En boucle dans ton iPod actuellement? Jamais de musique en boucle, ça fatigue l'esprit.
Café ou thé? Les deux, tout dépend de l'heure.
Crois-tu au "miracle" des crème amincissantes? Le seul miracle auquel je crois, c'est l'unique cas rapporté de parthénogénèse arrhénotoque dans l'espèce humaine, daté d'il y a environs 2000 ans.
Pour perdre à coup sûr 5 à 6 kgs sans privation, tu fais quoi? Sans privations? J'me marre.
Comment choisis-tu tes lectures? Au hasard
Tes bonbons préférés quand tu étais petit(e)? Les rouleaux de réglisse, toujours d'actualité soit dit en passant.
Ton meilleur souvenir de rentrée scolaire? Rentrée en école d'ingé après deux ans de prépa à bosser comme un malade.
Ta grand-mère comptait-elle beaucoup pour toi? Pourquoi parler d'elles au passé?
Que préfères-tu dans ton travail actuel? Il m'offre une qualité de vie très agréable.
Comment s'appelle ton chien? Pas de chien à la maison.
As-tu le mal de mer? Ca dépend de l'embarcation, de l'état de la mer, de l'heure de mon dernier repas, de l'orientation du soleil, de l'âge du capitaine et de la couleur du cheval blanc d'Henri IV
Où aimerais-tu prendre ta retraite? Aucune idée, mon horizon temporel se limite à deux mois, voire moins...
Si tu pouvais changer de job, là tout de suite, que ferais-tu? Mon job me plaît beaucoup, j'ai pas envie d'en changer (et non, mon patron ne me lit pas, du moins pas à ma connaissance)
Dans quelle ville irais-tu vivre et travailler pendant une année ou plus si l'occasion t'étais offerte? Montréal
Sur proposition d'Olivier relayée par La Fille, le film de ma vie, de 5 ans en 5 ans, pour les années qui se terminent par 3 ou 8.
1978 J'habite en Italie avec mes parents et il paraît que je commence à parler italien. Ma soeur est en route.
1983 Retour en France. J'ai fêté mon sixième anniversaire à l'hôpital. Je me souviens très bien des bougies collées sur l'emballage d'un de mes cadeaux --un bateau si ma mémoire bonne, que j'emmenais au jardin du Luxembourg pour le faire voguer sur les bassins. C'est aussi à cette période que je commence la musique, solfège puis violon. Quelques rudes années pour les oreilles de la famille.
1988 Entrée au collège, en sixième, pour quelques mois. Ma mère a un nouveau boulot au Luxembourg. Direction l'Ecole européenne en janvier 1989. Nouvelle école, nouvaux copains, nouveau pays.
1993 Maintenant nous habitons au Kenya, après avoir passé un an et demi au Togo puis être rentrés en urgence en France en raison des soulèvements. Nombreux voyages dans le pays, sur la côte. J'en garde un beau souvenir. Je suis en 1ère, au lycée Denis Diderot. Bac de français à l'horizon. De nombreux profs sont de coopérants: ils ont à peine 5-6 ans de plus que nous et on les retrouve parfois en boîte. Etrange.
1998 Bac, prépa, concours terminés. Ecole d'ingé, 2ème année. Je ne sais toujours pas ce que je veux faire. Probablement de la recherche. A posteriori, je réalise que j'idéalisais beaucoup le métier de chercheur. Malgré les pérégrinations familiales, je n'ai pas complètement lâché le violon. J'ai rejoint un choeur et un orchestre étudiants, le COGE. Nous préparons le Requiem de Dvorak, que nous chanterons en mars 99 à Notre Dame de Paris. Souvenirs éblouissants.
2003 J'ai suivi une formation complémentaire à Strasbourg en droit de la propriété industrielle. Année où j'ai appris à apprécier la bière. Je travaille depuis un peu plus d'un an à Lille, et je vais changer de boîte pour aller bosser à Lyon. Retour à la ville de mes études, de ma famille paternelle, et en remontant les générations, d'une partie de ma famille maternelle. Je resterai presque 5 ans à Lyon, ce qui m'a permis de la découvrir et de l'apprécier. C'est pour toutes ces raisons que lorsqu'on me demande d'où je viens, j'ai tendance à répondre que je suis Lyonnais.
2008Arrivé en janvier en Suisse. Après avoir bossé plusieurs années en cabinet de conseil, je suis passé à l'industrie. J'adore la région et j'ai pu renouer avec mes activités musicales: violon et choeur, où j'ai été très bien accueilli (c'est toujours le cas pour les ténors). La vie est belle!
Destination de la journée: Chatel-Linga, dans le val d'Abondance. Rendez-vous avec le bus à 8h00, pour arriver une heure plus tard sur les lieux. Petite surprise sur le chemin: nous passons la frontière. Je n'avais pas réalisé que la station est située en France et j'ai oublié de prendre des euros avec moi. Sans grande conséquence, vous verrez. Comme d'habitude, cette sortie était parfaitement organisée: distribution des forfaits en sortant du bus, regroupement pour les leçons de ski puis départ. J'avais de nouveau choisi de prendre un cours, pour essayer de perdre quelques mauvaises habitudes.
Voici quelques clichés des paysages...
... le groupe, avec notre moniteur dans la neige, qui nous explique deux-trois choses...
... un bel arbre...
Déjeuner dans un restaurant d'altitude, en terrasse, au soleil. Heureusement, ils acceptaient les francs suisses.
Il a beaucoup neigé la semaine passée. Les pistes étaient fraîchement damées, la neige était parfaite et nous avons eu un grand soleil toute la journée. Tous les ingrédients d'une belle journée, et d'un coup de soleil... Notre moniteur en a profité pour nous apprendre quelques rudiments du ski hors-piste et dans la poudreuse. Par endroits, j'avais de la neige jusqu'au genou! C'était assez impressionnant, mais la neige était toute légère et ne gênait pas trop la descente.
A la fin de la journée, nous n'étions plus que trois à skier hors-piste: le moniteur Serge, Emma et moi.
Devinez qui est le point rouge...
En fin de journée, Serge nous a guidé dans des passages en forêt et des petits canyons, hors piste bien sûr. C'était vraiment très chouette. J'espère récupérer des photos prochainement.
Retour au bus à 16h40, juste le temps de ranger les skis, changer de chaussures et acheter à boire, avant de repartir vers Vevey.
Après une petite séance au fitness (faut bien se vanter de temps en temps) suivie d'un séjour prolongé hammam et sauna, direction le Théâtre de Vevey pour assister à une adaptation de L'Ingénu de Voltaire. Pour les billets, j'ai appelé la veille, histoire de vérifier s'il restait des places. Heureusement pour moi, oui, une bonne place que l'on m'a mis de côté pour que je puisse la retirer le soir du spectacle. Incroyable non? Pas de paiement d'avance, de numéro de carte bancaire. Rien. J'ai juste donné mon nom (déjà dans la machine) et le tour était joué.
Avant la représentation, le directeur du théâtre est venu sur scène, demander au public s'il verrait un inconvénient à ce que le spectacle débute 10 minutes plus tard. La raison? Ce n'était pas un retard des acteurs, qui avaient déjà donné leur accord. En fait, il a neigé toute la journée et certains spectateurs retardés par les congères avaient téléphoné pour demander cette faveur. Accord unanime de la salle.
Comme dans la pièce de la semaine passée, Voltaire jette un regard sans concession et peu amène sur la société: critique de certaines pratiques religieuses ou de la noblesse, à l'aide d'un personnage culturellement vierge: un indien huron qui débarque à Saint Malo, le fameux ingénu.
Si je n'avais pas aimé cette pièce, je n'aurai probablement pas pris la peine d'écrire ce billet. Si vous avez l'occasion d'y assister, saisissez-là!
Sur ce, bonne nuit. Je dois me réveiller tôt pour attraper le bus qui m'emmènera skier à Linga/Chatel, l'une des stations des Portes du Soleil.
Dernière lecture, D'Or et d'Oublis d'Anne Cuneo, une romancière suisse. Un polard qui se déroule dans les années 90, autour des biens Juifs en deshérence, d'un avocat véreux et de l'enquête menée par l'héroïne, Marie Machiavelli. En plus, certaines descriptions nous font découvrir Lausanne, Genève et d'autres villes de la côte. Une reflexion également sur la situation de la Suisse pendant la Seconde Guerre Mondiale et le comportement de certains par la suite.
Ma foi, l'histoire m'a bien plu. Maintenant, je suis tenté de me procurer d'autres romans de cette auteur.
Pour le temps nous n'avons pas eu beaucoup de chance: le plateau était dans les nuages. Cela dit, voir le chateau émerger de la brume à mesure que nous en approchions était assez chouette.
Devant, le village, auquel on n'accède pas en voiture. A l'arrière-plan on distingue le château.
Vue depuis le chateau, l'église...
... une tour du château...
La visite du château est assez rapide et il faudra que j'y retourne à la belle saison. Ma mère a acheté un livre qui se transforme en château de papier et des figurines de chevaliers, de roi et d'une gente dame pour mon neveu. J'en connais un qui va s'amuser.
Je découvre aussi que Gruyères possède un musée consacré à H.R. Giger, le créateur de Alien. Vous ne le saviez peut-être pas, mais il est Suisse. Malheureusement (ou selon ma mère, heureusement), le musée est fermé le lundi. Nous n'avons donc pas pu le visiter...
Ce soir, nous sommes allés voir Séraphine de Martin Provost, avec Yolande Moreau. Vous en avez forcément entendu parler puisque ce film a raflé 7 Césars tout récemment.
Je me rends compte en préparant ce billet que le film est sorti depuis le 1er octobre dernier en France. A Vevey, c'était sa première semaine de distribution. Le décallage franco-suisse est assez surprenant. Cette fois-ci la projection n'a pas été interrompue par un entracte. Tant mieux car cela aurait rompu le charme.
Plutôt qu'un long discours sur la poésie de ce film, sur la maîtrise de la lumière et de la photographie, qui m'ont souvent fait penser à des tableaux impressionnistes (scènes d'extérieur, dans les champs ou les forêts) ou de maîtres hollandais (scènes de travail à la lueur de bougies), sur le jeu de Yolande Moreau, impressionnante, je préfère laisser parler la bande annonce:
Nous avons consacré la journée de dimanche à la visite de la ville de Berne, la capitale fédérale.
Pourquoi la ville de l'ours? Parce que la légende veut que son fondateur ait promis de nommer la ville en fonction de la première bête qu'il chasserait, et ce fut un ours. Bären en allemand. Vous voyez le lien maintenant? C'est aussi pour cette raison que les armoiries du canton représentent un ours.
Malheureusement la journée ne fut pas aussi ensoleillée que Lucerne la veille. Aussi, Berne nous a semblé un peu tristoune, malgré les reliefs de carnaval.
Nous avons entamé la visite par le Kuntsmuseum, qui vient de réouvrir partiellement. Exposition un peu courte car toutes les salles ne sont pas encore ouvertes. Cela dit, nous avons pu voir de belles œuvres impressionnistes.
Ensuite, déambulations dans la vieille ville, en passant par...
... la tour des Hollandais...
... l'horloge
... ses personnages animés...
... et le soldat qui frappe la cloche...
... la Cathédrale...
... et son fronton...
Depuis les jardins de la Cathédrale
En nous promenant, nous avons croisé de nombreuses fontaines surmontées de statues colorées comme celle-ci. Elles représentent des personnages historiques de la ville.
Sur les façades, d'autres statues, animalières souvent.
Et sur le chemin du retour, nous avons eu droit à des animations originales. D'abord, dans les jardins de la Cathédrale, des funambules ont tendu leur corde entre deux arbres et ont commencé l'entraînement.
Puis, dans la rue, nous sommes tombés sur une fanfare de carnaval. Ils portaient des déguisements incroyables, et ma foi, ils ont mis un peu d'ambiance dans des rues autrement bien calmes.
Enfin, j'ai constaté qu'au pied de chaque immeuble on trouve une trappe qui mène vers les sous-sols et les caveaux, souvent aménagés en bars, pubs et autres clubs plus ou moins privés. Ambiance assurée j'imagine!
Lectures récentes... ceux-là sont dans l'ordre: le plus récemment lu en haut de la pile bien sûr
Au pays de Tahar Ben Jelloun Le contraire de la mort de Roberto Saviano L'homme qui m'aimait tout bas de Eric Fottorino Les éclaireurs de Antoine Bello Au bout de l'éventail de Jocelyne Godard Un homme très recherché de John Le Carré Un Juif pour l'exemple de Jacques Chessex La princesse des glaces et Le prédicateur de Camilla Läckberg Les hommes qui n'aimaient pas les femmes (Millenium 1), La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette (Millenium 2) et La reine dans le palais des courants d'air (Millenium 3) de Stieg Larsson Le dernier des Weynfeldt de Martin Suter Des vents contraires de Olivier Adam Le meilleur reste à venir de Sefi Atta D'Or et d'oublis d'Anne Cuneo Le maître et le violoncelle de Anne H. Tallec L'enfant de sable de Tahar Ben Jelloun La pluie, avant qu'elle tombe de Jonathan Coe La porte des enfers de Laurent Gaudé Ulysse from Bagdad de Eric-Emmanuel Schmitt Syngué sabour de Atiq Rahimi Le Procès-Verbal de J.M.G. Le Clézio Un brillant avenir de Catherine Cusset World without end et Les Piliers de la Terre de Ken Follett Les hommes perdus de Brian Leung Bleu, blanc, vert de Maïssa Bey Un lieu incertain de Fred Vargas Le don d'Asher Lev de Chaïm Potok Kiffe kiffe demain de Faïza Guène Le fait du prince d'Amélie Nothomb Cercueil et Fossoyeur (Le Cycle de Harlem) de Chester Himes Un garçon d'Italie de Philippe Besson La consolante de Anna Gavalda Le cercle du silence de David Hepburn Chagrin d'école de Daniel Pennac Bonjour tristesse de Françoise Sagan Journal d'Hirondelle d'Amélie Nothomb Le sang des farines de Jean-François Parot Qumran d'Eliette Abécassis
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